Bitmain tiendra l’édition 2021 du World Digital Mining Summit à Dubaï, du 9 au 10 novembre

HONG KONG, 28 septembre 2021 /PRNewswire/ —Bitmain – le leader mondial de la fabrication de matériel de minage de cryptomonnaie, tiendra l’édition 2021 du World Digital Mining Summit (WDMS) à Dubaï, du 9 au 10 novembre. Il s’agit de la troisième édition du WDMS, qui est organisé cette année par Bitmain et Antminer.

WORLD DIGITAL MINING SUMMIT 2021

Le WDMS, qui rassemblera les plus importants exploitants de centres de données au monde, favorisera les échanges entre les fournisseurs, coopératives de mineurs et autres leaders du secteur dans le domaine du minage de cryptomonnaie. Parallèlement, le sommet vise à créer une plateforme professionnelle pour présenter les fournisseurs d’énergie renouvelable et permettre aux investisseurs d’intégrer l’industrie.

Cette plateforme numérique d’échange de devises dans le secteur du minage de cryptomonnaie intègre de nouvelles technologies novatrices. Elle favorise également la coopération commerciale, la construction de centres de données, les possibilités d’exploitation de l’énergie verte et l’échange de renseignements sur l’industrie. C’est aussi l’occasion pour tous les partenaires qui participent à l’événement de discuter des nouvelles politiques.

Au cours du sommet, Bitmain dévoilera la toute dernière solution tout-en-un de conteneur de minage et les produits d’Antminer. L’entreprise continuera d’annoncer ses progrès et sa stratégie pour bâtir un écosystème mondial du minage de cryptomonnaie, y compris ses programmes mondiaux de maintenance après-vente et les centres de formation en maintenance d’Antminer.

Le sommet donnera lieu à des dizaines de discours et à des discussions de groupe sur le développement de l’énergie verte et la mondialisation dans le domaine du minage de cryptomonnaie, la construction de centres de données, l’amélioration des activités associées au minage de cryptomonnaie, les politiques et règlements mondiaux, et bien plus.

Bitmain invite les intervenants intéressés à participer au WDMS de 2021. Pour obtenir de plus amples renseignements et pour acheter des billets, consultez le site https://wdms.global/.

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Huawei lance la solution de paiement mobile et de microfinance, favorisant ainsi l’inclusion financière

SHENZHEN, Chine, 28 septembre 2021 /PRNewswire/ — Huawei a lancé une solution d’inclusion financière comprenant le paiement mobile et la microfinance lors du HUAWEI CONNECT 2021. Cette solution aide les institutions financières à fournir des services rapides et abordables, ce qui contribue à rapprocher le monde de l’inclusion financière. Huawei continuera à travailler avec les partenaires de l’écosystème et à utiliser les nouvelles technologies de l’information et de la communication pour faire progresser le paiement mobile et construire un écosystème commercial prospère.

Les banques utilisent des solutions de paiement mobile et de microfinance, y compris la technologie cloud et le SaaS, pour créer des modèles commerciaux sur mesure et un écosystème florissant sur les super applications. La solution d’inclusion financière de Huawei comprend un portefeuille mobile, une plateforme de paiement mobile, un cadre ouvert pour les super applications et des plateformes de produits financiers. Grâce à ces services, les banques peuvent introduire rapidement divers services financiers.

À l’occasion de HUAWEI CONNECT 2021, Huawei a abordé l’avenir de la transformation numérique dans l’ensemble des industries sous trois angles : scénarios, modèles et écosystèmes. Huawei a lancé 11 nouvelles solutions sectorielles, l’une d’entre elles étant la solution de paiement mobile et de micro finance. Cette dernière utilise les nouvelles technologies pour aider les institutions financières du monde entier à faire progresser le paiement mobile, à connecter les utilisateurs, les commerçants, les partenaires de distribution et les développeurs, et à construire un écosystème prospère.

1. Une super application connecte les utilisateurs et les commerçants. Huawei fournit des technologies à canaux multiples (SuperAPP, HTML5, carrier USSD, Agent et API ouverte) pour aider les banques à atteindre leurs clients plus rapidement et à moindre coût. Huawei aide également les petits commerçants à améliorer leurs opérations numériques grâce à des applications sur mesure ; celles-ci aident également les banques hors de Chine à développer des réseaux d’agents pour atteindre les clients en ligne et hors ligne. Grâce aux solutions Huawei, les institutions financières peuvent concevoir un parcours complet du client en ligne et offrir une meilleure expérience client.

2. Une plateforme de produits financiers connecte les utilisateurs et les bailleurs de fonds. Hors de Chine, les opérateurs comptent un nombre considérable d’utilisateurs. Ils sont donc le moteur de la croissance de l’activité et la condition préalable à la monétisation. Cependant, il leur manque une plateforme pour être en relation avec les banques. La plateforme de produits financiers aide les opérateurs à recommander les utilisateurs aux banques, qui peuvent à leur tour fournir des produits financiers intégrés directement aux utilisateurs.

3. Une plateforme de développeurs permet de construire un écosystème. Il existe plusieurs types de développeurs, notamment ceux des principaux systèmes de services mondiaux, des services locaux et des services intermédiaires tels que les petits plug-ins. Huawei propose une solution SaaS native du cloud, qui favorise l’innovation itérative et les API ouvertes. Cela permet à d’autres partenaires SaaS et à différents acteurs de l’écosystème de se connecter sur la plateforme HUAWEI CLOUD. Les banques et les partenaires peuvent facilement explorer de nouveaux services et réunir rapidement divers écosystèmes pour lancer avec succès des projets communs.

Les solutions d’inclusion financière de Huawei ont déjà été mises en œuvre avec succès dans plusieurs pays.

Par exemple, Huawei a travaillé avec la KBZ Bank au Myanmar – la plus grande banque locale – pour créer un nouveau portefeuille numérique appelé KBZPay basé sur le cloud public. KBZPay intègre divers outils de marketing pour offrir une expérience entièrement numérique aux utilisateurs et aider les commerçants à attirer des clients. En deux ans et demi seulement, KBZPay a accueilli plus de 8 millions d’utilisateurs enregistrés, ce qui en fait la première marque de paiement numérique dans le pays.

Au Kenya, Huawei a coopéré avec Safaricom – le plus grand opérateur local – pour créer une marque de paiement appelée M-Pesa. Non seulement la plateforme prend en charge les virements bancaires, mais elle offre également plusieurs services pour la vie quotidienne. Dans le même temps, elle aide KCB Bank, NCBA Bank et Safaricom à accorder des micro et petits prêts aux particuliers et aux commerçants. Sur le marché depuis 14 ans, M-Pesa a largement contribué à accroître l’inclusion financière au Kenya, qui est passée de 23 % à 85 %.

Huawei est déterminée à faire progresser l’inclusion financière. La société a jusqu’à présent desservi plus de 30 sites dans plus de 20 pays, couvrant ainsi 300 millions d’utilisateurs dans des régions comme l’Afrique australe, l’Afrique du Nord et l’Asie-Pacifique. Huawei a pour ambition de fournir à tous des services financiers pratiques et variés. Grâce à sa connectivité et à ses plateformes avancées, Huawei aide les institutions financières à élaborer des processus commerciaux numériques, à mettre en œuvre des services d’inclusion financière numérique et à parvenir à un développement financier durable.

Mali Seeking ‘Better Ways’ to Contain Terrorism

Mali’s interim government appears ready to cast aside long-standing counterterrorism partnerships with the United States and France, saying that both countries have failed to make Mali any safer.

But at the same time, Mali’s prime minister says reports of a deal to bring in mercenaries from Russia’s Wagner Group are just “rumors and allegations.”

“The security situation keeps deteriorating by the day,” Choguel Maiga told VOA in an interview on the sidelines of the United Nations General Assembly late Sunday.

“Despite the fact that Mali has a lot of partners on the ground, we have to find new partners who can help improve the security situation,” Maiga added. “We can seek partnership either with Russia or with any other country.”

Reports of a deal between Mali’s interim government and Russia’s Wagner Group first emerged earlier this month, with Reuters reporting that Mali would pay $10.8 million a month to bring in about 1,000 mercenaries to train Mali’s military and provide security for senior officials.

‘A real concern’

U.S. and French officials have expressed their growing concern that the introduction of Russian mercenaries will do more damage than good.

“We don’t think looking to outside forces to provide security is the way forward,” a senior administration official said Friday in response to a question from VOA about the potential deal with Moscow. “That is not how to best start down the road to true stability.”

French officials have also expressed growing alarm, both in public and private, about the possible deal with the Russian firm.

“We want the return of the Malian state, not the arrival of Russian mercenaries,” French Defense Minister Florence Parly tweeted last week. “We are for the sovereignty of Mali, not for its weakening.”

Another official with knowledge of the matter called the potential deployment of Wagner mercenaries “a real concern.”

“Such a perspective is not a viable and reasonable solution for Mali and the Sahel,” the official told VOA on the condition of anonymity because of the sensitive nature of the situation, adding that Malian officials need only to look at developments in the Central African Republic to see the dangers.

“The situation we are currently observing in Central Africa, a country in which more than 2,000 Wagner mercenaries are present, reinforces our view that such a force is pursuing a predatory agenda,” the official said. “Wagner is exploiting mining areas and controlling Central Africa customs and, above all, is guilty of serious abuses against the civilian population abuses highlighted by the U.N. in several reports.”

Russia has denied any abuses by contractors there.

Mali’s prime minister, while denying that a deal with Wagner had been finalized, dismissed the idea that the U.S., France and other countries had any right to criticize the interim government.

“All those countries of the international community which are opposing any partnership between Mali and the Wagner Group, all those countries are present there for the past eight years,” Maiga told VOA.

“I can only say that the government of Mali is assessing the situation, is seeking better ways,” he said. “The day we reach any agreement we will say it, and everybody will know. Whether it is with the Russian state, whether it is with another entity, people will find out.”

Moscow open to deal

In contrast to denials from Malian officials, however, Russian officials have welcomed talk of the potential deal with Wagner.

“They are combating terrorism,” Russian Foreign Minister Sergey Lavrov said during a news conference at the U.N. on Saturday. “And they have turned to a private military company from Russia in connection with the fact that, as I understand, France wants to significantly draw down its military component.”

“We don’t have anything to do with that,” Lavrov said, adding, “at the government level, we are also contributing to providing for military and defense capacities of Mali.”

Many Western governments, though, insist that there is little practical difference between the Kremlin and the exploits of the Wagner Group, run by Russian oligarch Yevgeny Prigozhin.

Prigozhin, sometimes called “Putin’s cook” because of his catering company’s work for Russian President Vladimir Putin, is thought to have extensive ties to Russia’s political and military establishments, according to U.S. intelligence officials.

The U.S. State Department sanctioned Prigozhin and Wagner back in July 2020, as well as several front companies for the group’s operations in Sudan.

Source: Voice of America

FAO: Food Loss, Waste Major Causes of Global Hunger, Malnutrition

The U.N. Food and Agriculture Organization is calling for action to stem food loss and waste, which it says are a major cause of hunger and malnutrition around the world.

FAO experts say countries currently are producing enough food to feed the nearly eight billion people who populate the world. Yet more than 800 million are going hungry.

Another two billion people, they say, are suffering from nutrition deficiencies, which can cause serious health problems.

The deputy director of the FAO’s food and nutrition division, Nancy Aburto, says millions of children suffer stunting and wasting, which are deadly forms of undernutrition, and one in three adults are overweight or obese.

That, she says, is another form of undernutrition caused by inadequate vitamins, minerals and unhealthy diets.

“The high cost of healthy diets has put healthy diets out of reach for billions of people around the world, in every region around the world including Europe,” said Aburto. “And this trend has been seen to get worse during the COVID-19 pandemic. Without healthy diets, we can never address the problems of hunger and malnutrition.”

A 2019 FAO study found an estimated 14 percent of food produced globally spoils or is ruined from post-harvest to the point of sale. Another study by the U.N. Environment Program this year shows an estimated 17 percent of food that is available to consumers is wasted.

The United Nations says around one third of all food or 1.3 billion tons of food produced globally ends up rotting in retail market or consumer trash bins. U.N. economists value the loss at around $1 trillion a year.

Aburto warns the U.N. will never reach its sustainable development goal of zero hunger by 2030 if food loss and waste continues unchecked. She says the ongoing problem also undermines the sustainability of global food systems for the future.

“Food loss and waste account for approximately 10 percent of global greenhouse gas emissions,” said Aburto. “While food is lost or wasted, all of the resources that went into producing that, including water, land, energy, labor, and capital all go to waste. Reducing food loss and waste can lead to greater availability and accessibility of healthy diets and reduce hunger and malnutrition but this is not guaranteed.”

The FAO has declared this Wednesday to be International Day of Awareness of Food Loss and Food Waste.

Aburto says reducing food loss and waste would lead to healthier, more nutritious diets, decrease world hunger, and result in environmental benefits.

Source: Voice of America

WHO: Ebola Responders Allegedly Sexually Abused Women in Congo

A World Health Organization investigation has found that dozens of women were allegedly sexually abused and exploited by international staff and locals hired to respond to an Ebola outbreak in eastern Democratic Republic of Congo.

The WHO appointed a five-member independent commission in October 2020 to investigate allegations of sexual abuse by its staff in Congo’s Ituri and North and South Kivu provinces.

Senior WHO officials call the results, released Tuesday, horrifying and heartbreaking.

The commission found that more than 80 alleged cases of sexual abuse occurred during the outbreak between August 2018 and June 2020. Most of the victims were uneducated women ages 13 to 43.

Commission member Malick Coulibaly said most of the women who testified said they had been forced to exchange sex for the promise of a job. He said some of the sexual exploitation and abuse was organized through a network operating through the local branch that recruited people to work on the Ebola response.

“Most victims did not get the jobs that they were promised in spite of the fact that they agreed to sexual relations,” Coulibaly said through an interpreter. “Some women declared that they continued to be sexually harassed by men and they were obliged to have sexual relations to be able to keep their job or even to be paid.”

Coulibaly added that some women had been dismissed for having refused sexual relations. The panel reports nine women were raped.

Women who were interviewed said none of the perpetrators had used birth control, and some who became pregnant said the men who had abused them forced them to have abortions.

The investigation found 21 of the 83 alleged perpetrators were WHO staff, some Congolese, some from abroad. The other alleged perpetrators were contractors such as drivers and security personnel.

WHO Director-General Tedros Adhanom Ghebreyesus described the document as harrowing reading.

“The conduct it describes is a sickening betrayal of the people we serve,” he said. “It is my top priority to ensure that the perpetrators are not excused but are held to account. … And I will take personal responsibility for making whatever changes we need to make to prevent this happening in future.”

Tedros said four WHO staff have been fired and two have been put on administrative leave. He said the alleged perpetrators of rape will be referred to national authorities in Congo for investigation.

The WHO chief also said that all victims of sexual exploitation and abuse will have access to the services they need, including medical and psychosocial support, and that assistance for their children’s education will be provided.

Source: Voice of America